Nous pensons qu'il est nécessaire de cibler les deux aspects du dialogue immuno-endocrine pour prévenir et traiter efficacement le diabète de type 1. Nous rechercherons des agents capables de réduire le stress et la mort des cellules bêta et évaluerons des thérapies combinées avec des médicaments immunomodulateurs pour rétablir la tolérance immunitaire. Dans le but de prévenir les premières étapes de l'auto-immunité anti-cellule bêta, nous nous concentrerons sur des stratégies thérapeutiques non invasives (par exemple, l'administration intranasale), qui amélioreraient l'applicabilité aux enfants à risque mais encore cliniquement sains. Dans cette perspective, nous avons déjà lancé plusieurs études cliniques pour dépister le risque de DT1 dans les familles touchées.